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L'Insaisissable Ayme

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L'Insaisissable Ayme Empty L'Insaisissable Ayme

Message  Ayme Mer 18 Juil - 15:52

L'Insaisissable Ayme 1207170315215543310114183


Prénom : Ayme

Race : Humaine / Elementaliste





Description physique
Donnant des ses allures mystérieuse, Ayme a le regard perçant d’un vert émeraude. Sa forme élancée lui donne une démarche souple, comparable à celle d’un félin. Elle aime porter ses cheveux, rouges comme le feu, courts.
Elle favorise des vêtements moulants et souples facilitant ses mouvement, noirs pour se camoufler dans l’ombre. Elle porte sur son dos ses Dual dao swords, ranger dans un seul étui en métal sombre sur lequel est inscrit en or « Tu ne tueras et voleras point ton prochain »…

Description morale
Furtive d’esprit, Ayme est ingénieuse et vicieuse. Elle parvient toujours à ses fins par une quelconque machination, rendant l’impossible possible…
Patiente, elle prend le temps de tisser sa toile et d’attendre ses proies calmement dans un coin sombre.
Très fière d’elle, elle porte la tête haute et parle courtoisement, sans jamais atteindre sa bonne humeur naturelle.
Elle adore ressentir le plaisir intense du danger.

Sur chaque lieu de crime, elle laisse sa signature à l’encre de chine qui lui a valut son surnom :
La Veuve Noire.

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Objets spéciaux non rattachés aux pouvoirs

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Dual dao swords.
Deux armes qui en font une, voilà comment il faut penser lorsque l’on utilise des Dual dao swords.
Ayme les a volé à un riche héritier quelconque qui les utilisait comme objets de décoration, séduite par leurs légèretés et fluidités, s’associant parfaitement à son style.
Elle les utilise notamment pour se défendre ou pour impressionner. Elle pourra également les combiner avec sa maîtrise du feu lorsque celle-ci sera s’en servir…

Types de pouvoirs détaillés

Maîtriser le feu
Ayme à la possibilité de contrôler les flammes qui l’entoure.
À la différence des autres éléments, les maîtres de feu créent leur propre feu, sachant que la source même de leur maîtrise réside dans la chaleur de leur corps, et par extension, les maîtres de feu puise leur puissance du soleil, ressource de chaleur absolue.
Le feu est un élément qui privilégie l’attaque à la défense, avec des attaques directes mais avec un style de combat fluide et dansant malgré tout.

« Fire comes from the breath, not from the muscle »

Principe que beaucoup de maître de feu semble avoir oublier, privilégiant la rage et les haines comme origine de leur maîtrise, illustrant le feu comme élément de destruction. Or, le feu représente la vie et l’énergie, et est l’élément créateur.
À cause de cela, le feu est un élément puissant qui est difficile à maîtriser et contenir. Si un maître de feu ne sait pas maîtrisé son pouvoir, il pourrait facilement blesser ses amis, voir même lui-même.
Or, Ayme n’a jamais eu l’occasion d’apprendre…

Voleuse de l’Ombre
Ce n’est pas un pouvoir, mais une abilité.
Ayme est une professionnelle dans le braquage, elle sait parfaitement se camoufler dans l’ombre, se déplacer sans faire de bruit, et déjouer des mécanismes.
On raconte même qu’elle est capable de se déguiser à la perfection pour passer pour un autre…




CHAPITRE I


La souffrance lui avait fait perdre la notion du temps. Elle ne savait plus combiens d’heurs elle avait été allongée sur ce lit, suant de l’effort, brûlant de douleur.

« Poussez ! », lui ordonna une voix.

Et c’est ce qu’elle fit. Elle sentit les os de son bassin s’écarter pour laisser passer le bambin, ce qui lui arracha un cris…
La fièvre lui monta à la tête. La douleur était telle… Elle voulut tout arrêter, mettre un terme à la souffrance. Pourquoi elle en était là ? Pour quelle fin ?
Mais elle tint bon, s’accrochant fermement au bord du lit pour canaliser la douleur.

Elle donna un dernier effort…
Et faillit s’évanouir.
Si elle n’avait pas entendu les pleures d’un enfant, elle n’aurai sûrement pas ré- ouvrèrent les yeux

Line remarqua alors, à la porte de la pièce, se tenait son mari. Il la regarda avec tendresse et amour.
C’est alors qu’elle se souvient.
Oui, elle savait pourquoi elle était lui, pourquoi elle souffrit…
Ou du moins pour qui.

Elle reprit courage.

Soudain, un son lointain alerta ses anciens instincts. Des cris ? Elle n’arrivait pas à les discerner, la fatigué la désorientait, mais ils venaient de l’extérieur.
Elle interrogea son mari du regard et lut sur son visage une peur sans nom. Puis il disparu aussi vite qu’il était arrivé.

La douleur revint, la tirant de ses pensées, plus accrue et forte que précédemment.
Elle ne savait plus vraiment ce qu’elle faisait si où elle était. Elle écoutait les voix des infermières au alentour qui la guidaient dans cette épreuve.

Line cria.
Aussitôt, tout se calma…

Elle se rallongea, épuisée, suante…
Puis l’infermière porta l’enfant et le lui tendit. Line le pris et l’installa dans les creux de son bras, caller contre sa poitrine. Elle plongea dans les yeux verts émeraude de sa fille
Le temps semblait s’être arrêter pour cette mère, combler de bonheur à tenir contre elle l’être le plus fragile et le plus précieux qu’aucun homme ne peut avoir.
Rien ne semblait pouvoir interrompre se moment.
Rien, sauf une chose…

Un homme blessait et haletant poussa la porte de la chambre attirant tout les regard sur lui. Il fixa Line, terrifié.
C’était Hisen, le meilleur ami de son mari.

« Ya… Yanot est tombé au combat. »

* * *

Le monde s’effondrait.
Les paroles paraissaient fausses.
Yanot… Son mari, son amant… Mort ?

Personne ne parla. Un malaise malsain commença à s’installer dans la pièce. Le nourrisson parut le ressentir puisqu’il se mit à pleurer de chaude larme.
Line le balança légèrement dans ses bras pour le calmer.
Et elle pensa… Sans Yanot, ils n’avaient plus d’avenir, ici…

L’enfant pleurait toujours, de larmes qui semblaient comprendre que jamais elle ne verra les yeux de son père.
Line contient sa peine et ses larmes. C’était une femme forte pleine de ressource et de courage, et elle savait que l’heure n’était pas aux lamentations.
Et comme pris par un excès de fièvre, elle cria :

« Où est… »

Une explosion fit sauter le mur de droite.
Un homme fort et de grande taille, le visage carré et le regard dur rentra dans la pièce.
Hisen se jeta sur lui, mais fut vite projeté par un jet de feu et tomba sur le sol, inconscient.
L’homme s’avança vers Line, les infermières tentèrent de s’interposer, mais elles subirent le même sort qu’Hisen.

Ne resta alors que Line.
Son visage était resté aussi froid et dur que celui de l’étranger.

« Tu n’as pas changé, Line. »

Ces mots ne l’atteint pas, mais la voix la fit frissonner.
C’était celle de Dardor, son commandant lorsqu’elle était encore dans l’armé de son pays. C’était bien avant qu’elle rencontre Yanot, et s’enfuie alors avec lui dans le camp adverse.
Dardor n’avait jamais apprécié son départ.

Face à l’impassibilité de la jeune femme, Dardor ne contient pas sa rage et sa souffrance et lança dans sa direction une boule de feu qu’il tira de son poing.
Mais il regretta vite son geste…

Il le savait, Line avait toujours était plus agile et puissante que lui, un véritable prodige, qui aurai bien put prendre sa grade de commandant si elle n’avait pas été une femme…
Et donc, malgré la fatigue, Line puisa dans ce qui lui resté d’énergie et de courage pour roule sur elle même et tomber de l’autre côté du lit, la boule de feu effleurant ses cheveux. Puis, tenant toujours l’enfant dans un bras, elle tourna sur elle même et de sa main libre, en suivant le mouvement de son corps, elle envoya un flot de flamme rouge et puissante horizontalement qui enflamma toute la pièce.
Dardor reçus le puissant jet de plein fouet et fut projeter contre le mur. Il n’eut pas le temps de se relever que Line créa du bout de ses doigts un flux électrique qu’elle dirigea vers son ennemie, le foudroyant net.
Il tomba sur le sol, inconscient.

Line était perdu. Où était son deuxième enfant ? Le village allait-il survivre ? Que devait-elle faire ?
Que ferai Yanot ?

Elle jeta un regard autour d’elle ; l’explosion avait détruit la plupart des meubles et leur bagarre avait brûlé les murs et les poutres.
Elle entendit dans le couloir d’autre patrouille de soldat, marchant lourdement dans leur ensemble en métal. Dardor bougea légèrement. Il allait se réveiller d’un moment à l’autre. À cause de sa fatigué, elle n’avait pu doser la foudre autant qu’elle l’aurait voulu…

Elle se trouva face à un choix qu’elle devait prendre vite.
Yanot était mort.
Son premier enfant surement aussi.

Mais elle, elle était vivante.
Et tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir.

Elle regarda sa fille dans le creux de ses bras.
Que ferai Yanot ?...
On fond de ses yeux vert brillaient la naissance d’une petite flamme. Courage ? Espoir ?

Alors elle choisit.
Elle choisit ce que Yanot aurai fait, par sagesse, et pour autrui…
Si ce n’est pas pour elle, que ce soit au moins pour sa fille. Lui donner la chance d’une autre vie…

Elle s’empressa alors et partit par la fenêtre pour s’enfoncer dans les bois, à l’abri des regards, du danger.
Sans un regard en arrière.

Une unique larme coula sur la joue de la jeune femme…




CHAPITRE II


Trevithick, Les plaines.

Bien étrange…
Le vieil homme n’avait pas tout saisi. Qu’est qu’une jeune femme avec un nourrisson faisait au bord de la rue ? Affamés et épuisés.
Ce n’était pas dans ses habitudes d’aider des inconnus, mais cette jeune femme, malgré la fatigue qui avait creusé ses joues, malgré son ton terni et malgré la soif qui avait asséché ses lèvres et ses yeux, semblait toujours aussi fière, pleine d’espoir.

Gildas avait peur qu’elle demanda de la nourriture ou même un toit, il n’était pas très riche de son côté et avait à peine de quoi sustenter sa propre famille en tant qu’agriculteur modeste.
Mais elle n’avait rien demandé de tout cela.
Sur un ton poli et courtois, qui révélait une certaine éducation, elle demanda où se trouvait la ville la plus proche. Lorsqu’il lui répondit qui lui rester bien des kilomètres avant d’arriver, elle ne se découragea pas et le remercia.
Alors, Gildas hésita, puis se lança :

« Mais je m’y rends moi-même, à Gank, vendre mes récoltes sur le marché. Je ne peux vous garantir un repas, mais je peux vous escorter. Il reste une place derrière moi, sur la charrette. »

La jeune femme semblait hésitante mais ne tressaillit pas du regard. Enfin, elle accepta l’offre.
Le voyage ce fit dans le calme. La jeune femme ne dit un mot, le regard admirant le bambin dans le creux de ses bras. Mais cela ne gêna pas Gildas, bien au contraire ! Il n’était pas très bavard et ne voulait point écouter les problèmes des autres, il en avait assez pour lui-même.
Bientôt, ils atteignirent la grande porte en fer de la ville.

« Nous y voilà. »

Elle descendit de la charrette et regarda autour d’elle. Cette ville n’était rien comme ce qu’elle connaissait. Sans demander son reste, elle remercia le vieil homme tout en s’inclinant légèrement, et disparut dans les ruelles de la ville au milieu de la foule.
Sans bien comprendre pourquoi, Gildas ne s’inquiétait pas tellement pour elle. Un jeune femme débrouillarde, attachée à la vie, elle pouvait s’en sortir.
Mais il n’oubliera jamais cette rencontre.
Ni les yeux d’un profond vert émeraude.




CHAPITRE III


Trevithick, Gank.


Ayme circulait tranquillement dans la marché. Elle ne passait que pour l’un de ses enfants pauvres et sans avenir qui tourne autour des stands et des clients, espérant de récupérer une quelconque nourriture où pièce de monnaie.
Ce n’était pas entièrement faux dans son cas. De petite taille, âgée à peine de 10 ans, elle portait des vêtements en haillons et aucune chaussure. Sa peau blanche était brunit par la terre et la poussière, et ses cheveux rouges feu noircies par la pollution.
Seul son regard vert émeraude restait fier et noble.

Depuis le premier son souvenir, elle avait toujours vécu dans un appartement miteux dans les bas quartiers de la ville. Sa mère travaillait pour un modeste marchant et gagnait à peine de quoi payer le loyer.
Son père ? Jamais vu…

Elle se dirigea vers un homme de forte taille qui commander du poisson qui ne sentait pas frais du tout, en passant…
Il venait de payer son du et de ranger son porte monnaie dans une poche intérieur de sa longue veste. Ayme se dirigea vers lui et lui tira légèrement le manteau.

« Une petite pièce s’il vous plais… »

Malgré son regard suppliant, l’homme la toisa du regard et donna un coup bref sur son manteau pour dégager la main. Il continua son chemin la tête haute et fière, comme s’il n’avait rien entendu.
Ayme se retira dans un coin sombre et sortit le porte monnaie de dessous sa veste.
C’était celui de l’homme.

Elle compte les quelques pièces qu’il contenait. Ce ne fut pas une grande pêche. Les gens savaient que le coin était risqué et qu’il ne valait mieux pas se balader avec beaucoup de liquide.
Néanmoins, c’était déjà ça de pris…

Pour combler leur manque de financement, Ayme avait pris ces petits tours de passe-passe comme habitude.
Elle était plutôt douée d’ailleurs : ses mains avaient gagné en agilité, ses mouvement sont devenus fluides et discret, et l’ombre était la meilleur des cachette…

Ayme rangea le porte monnaie dans sa poche, en sécurité, et se dirigea vers le stand le plus proche qui vendait des herbes médicinales…

* * *

Ayme monta les escaliers de son immeuble quatre à quatre, toute excitée, en fessant attention à ne pas tomber dans un trou où de casser une marche pourrie.
Elle entra vivement dans l’appartement, son paquet à la main.

« Maman, maman ! Regarde ce que j’amène ! »

Elle s’introduit dans la chambre où sa mère reposait.
Souffrante.

Ayme lui prit délicatement la main. Elle était brûlante et moite.
Au contacte de la peau de sa fille, la mère ouvrit les yeux. Ils étaient ternes, et embrassaient d’une fièvre grandissante. Sa peau était livide, pale, et ses joues creuses, fessant ressortir les os de ses pommettes. Les goutes des sueurs dansaient sur son front et coulaient dans ses yeux. Elle toussota légèrement.
La petite fille la fixait droit dans ses yeux éteints, une boule dans l’estomac, elle avait peur.
Puis, toute fière, elle lui montra le paquet.

« Regarde maman, dit elle d’une petite voix, j’ai acheté des médicaments. »

La femme sourit.
Faiblement…

Ayme retreint un petit hoquet. Elle ne comprenait pas pourquoi sa mère était dans un tel état…
Elle s’empressa dans la cuisine pour prépara un repas des plus modeste : le vendeur lui avait expliqué de prendre de médicament pendant un repas. Rapidement, elle mis de l’eau sur le feu, découpa les feuilles et les mis dans un verre. Elle courait dans tout les sens, presser de finir, pensant sans cesse à sa mère dans la chambre à côté…
Lorsque l’eau fut assez chaude, elle le versa dans le verre de façon un créer un breuvage qui guérira sa maman !
Le soleil avait fini sa course quotidienne et les réverbères de la ville illuminaient l’appartement d’une couleur orange surnaturelle et peu rassurante.

Enfin, tout était prêt.
Ayme apporta le plateau dans pièce à côté et le posa sur une boite en carton installée au bord du lit, sûr d’elle.

« Voilà maman, tu dois juste boire ça. »

Elle porta le verre au niveau du visage de sa mère, mais celle-ci ne réagit pas.
Ayme observa son visage : la tête légèrement sur le côté, les lèvres entre-ouvertes et les yeux clos, elle avait dû se rendormir entre temps.

Ayme pris la main de sa mère délicatement et chuchota doucement :

« Maman, réveille-toi ! »

Elle ne se réveilla pas.
La main n’était plus chaude, mais froide… Froide comme l’hiver…
Une boule se forma au creux de son estomac. Elle ne comprenait pas…

« Maman ?... », balbutia-t-elle la gorge serrée, les larmes aux coins des yeux , secouant l’épaule frêle de sa mère.

Mais toujours rien.

« MAMAN ! »

Elle tomba à genoux. Délaissée. Perdue. Faible…
Le verre se brisa en mille sur le sol. Les larmes coulèrent sur les joues roses d’une fillette innocente.

« Maman… Maman… », continua-t-elle à chuchoter inlassablement, au milieu des sanglots.

Sa mère était morte.




CHAPITRE IV


Trevithick, Gank.

La perle noire brillait au centre de la pièce, sur son piédestal, entouré de verre. Le petit groupe avancé en ce bousculant pour admirer le fameux trésor.
L’Étoile Noire.

Un homme d’un fort gabarie portant la moustache se plaça à côté du socle et pris la parole pour s’adresser aux visiteur.

« Et voici la pièce maitresse de ma collection : L’Étoile Noire ! La perle noire la plus célèbre ! C’est mon grand-père, Yamato Tukishy, qui en fit la découverte. Elle est réputée pour donner chance et gloire à son possesseur… »

Il pris une pause et sourit.

« Moi. Shiro Tukishy ! »

Les flashes des appareils photos s’activèrent à cette annonce. Le publique était des plus excité. Ce n’est en effet pas tous les jours que la fameuse famille Tukishy ouvre ses portes au curieux pour faire découvrir leur large collection d’objet précieux, tous aussi impressionnant les uns que les autres. Mais cette perle en était la reine.
Au milieu de la foule, une jeune femme, dont les cheveux blond tomber en harmonieuse boucle sur son dos, observait la scène, impassible, derrière des lunettes noires.

« C’est le fierté de la famille ! Une beauté sans faille ! Mise sous la plus haute protection ! Voyez-vous, lorsque mon grand-père, il y maintenant un siècle, découvrir cette perle… »

Et le discourt continua. Contant l’histoire de la perle, de la famille, et de leur fierté.
C’était d’un ennuyeux…

La jeune femme examina les alentours. Des gardes étaient posté tout le long des mures de la salle sphérique. Une distance de sécurité séparée les visiteurs de la perle qui était fixé à un système d’alarme.

Soudain, une explosion retentit au loin, de l’autre côté de la demeure Tukishy. Tout le monde n’osa bouger. Certains cris féminins s’élevèrent parmi le groupe. Le gérant, perplexe, resta paralysé de peur.
Le rideau de fer épais s’activèrent tout seul, fermant l’accès à l’extérieur d’un quelconque terroriste.
Puis l’électricité se coupa, plongea la salle dans la pénombre la plus épaisse…

La panique prit le cœur de plus vaillant, tout le monde tourner dans tout les sens en éspérant de trouver la porte de sorti.

« Garde votre calme s’il vous plais ! »

Puis la lumière revint.
Les rideaux se rouvrirent.
Pas de blesser, rien de casser, et pourtant…

La perle avait disparu.

Le verre était intact, l’alarme ne c’était activé… C’était un simple prodigue.
Mais sur le socle, quelque chosé était apparut.
À l’encre de chine, dans toute sa splendeur, une araignée noire aux longues pattes était peinte, comme possesseurs du secret.
Le symbole de la Veuve Noire.

Le grand homme affaire paniqua, et cria des ordres aux hommes de sécurité qui s’empressèrent de sortir de la salle.

Mais ils ne trouvèrent rien…
Seule une perruque blonde et une paire de lunette de soleil, abandonnées dans les caniveaux non loin de la villa, fut trouver comme indice.

Et dans une ruelle sombre sourit une jeune femme aux cheveux roux et au regard vert.
Avec, au creux de sa main, l’Étoile Noire.
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L'Insaisissable Ayme Empty Re: L'Insaisissable Ayme

Message  Eva Jeu 19 Juil - 9:11

Validé!

Tu peux commencer à Rp où bon te semble et arriver sur O-Cross de la façon dont tu le désires!
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